Simon Martel, chef barman du restaurant d’inspiration grecque le Yaya.
Te rappelles-tu ta première rencontre avec Dolin ?
J’étais étudiant et tenu de connaître sur le bout des doigts tous les apéritifs ABV, ABA, et les anisés du référentiel des cocktail de la « Coupe Scott » où Dolin était mentionné. Ma première expérience gustative avec ce vermouth a eu lieu au Bristol où j’officiais au côté du chef barman MOF Maxime Hoerth. Il m’a fait déguster un Manhattan à base de Dolin rouge que j’ai trouvé excellent et très équilibré. Outre ses qualités aromatiques, le fait que cette marque soit française amène une vraie plus-value.
Quel(s) produit(s) Dolin as-tu sur tes étagères ?
C’est Maxime Hoerth qui s’est chargé du référencement des spiritueux à l’ouverture du Yaya. Il a sélectionné le Dolin rouge, le Dolin blanc et le Dolin dry que nous avons toujours au bar.
Quel type de cocktail travailles-tu avec Dolin ? Classiques ? Créations ?
Pour les classiques comme le Manhattan ou le Negroni, je pars toujours sur une base de vermouth Dolin. Pour les créations, j’aime travailler sur des boissons sans extravagance, avec peu d’ingrédients, complétés de Dolin rouge pour sa puissance, de Dolin dry pour son côté oxydé et le Dolin Suédois pour sa fraîcheur.
Es-tu un adepte de cette nouvelle tendance de cocktail food pairing ?
Je ne suis pas encore un adepte du food pairing car je n’ai pas vraiment eu l’occasion de créer des accords mets et cocktails sur mesure, mais je suis plutôt ouvert à ce concept. Chez Yaya on adore les défis, et avec les fondateurs (Juan Arbelaez et les frères Chantzios), nous pensons de plus à plus à faire ces alliances. Dans la nouvelle carte d’automne, nous conseillons nos clients sur l’accord de leurs desserts avec un cocktail, un champagne ou un vin grec… C’est un premier pas.